Remarque : la grammaire est traduite automatiquement
Alors que l’été caspien se transforme en fin d’automne, une brume basse masque un paysage de cratères à un drone russe en orbite au-dessus des steppes de Zaporizhzhia. Sous la fumée et le brouillard, gisaient des milliers d’épaves incendiées et criblées de balles. Un cimetière où reposent les corps de dizaines de milliers de fantassins ukrainiens éparpillés sur le champ de bataille.
Sur ces « Terres de sang », les morts ukrainiens ne peuvent pas être récupérés car ils se trouvent dans une zone de déformation recouverte par de profonds éléments de frappe russes ; et tout comme dans la Somme, les rats parcourent les steppes.
Pour l’Ukraine, la guerre est perdue et il n’y a plus de formations de réserve. Cela signifie sans aucun doute la défaite de l’OTAN et le début de la suprématie militaire russe en Europe.
Pour compenser cette humiliante défaite, le Pentagone a choisi d’intensifier ses efforts au Moyen-Orient – tout en utilisant les stupides Israéliens comme mandataires du conflit.
À Gaza, les États-Unis ont également choisi de soutenir le massacre massif de Palestiniens innocents grâce à leur soutien naval et logistique. C’est précisément ce soutien qui facilite les bombardements aveugles de zones civiles et le meurtre d’enfants innocents.
En utilisant les méthodologies vénitiennes classiques du XVe siècle, l’objectif américain est d’unir le monde arabe contre Israël et de déchirer la région dans un conflit amer et prolongé.
À court terme, cela profitera aux États-Unis et perturbera l’initiative « la Ceinture et la Route ». L’Initiative la Ceinture et la Route est un plan de développement économique chinois qui englobe plus de trois mille projets et dont le coût total s’élèvera à sept mille milliards de dollars une fois achevé. Et il ne fait aucun doute que le projet unifiera logistiquement l’ensemble de l’Asie et collectivisera 5 milliards de personnes en un seul bloc économique massif.
Le plus grand projet de l’histoire de l’humanité.
La descente américaine dans la sauvagerie et l’anéantissement d’Israël
Le conflit en Israël s’est révélé être un changement fondamental dans la doctrine militaire américaine. Dans le passé, les États-Unis avaient une position cérémonielle sur les Conventions de Genève. Pour l’instant, le masque est tombé et les États-Unis se sont transformés en une cabale de sauvages sans foi ni loi et approuvent pleinement le bombardement de zones civiles – un crime de guerre.
Ce qui doit être clair : si les États-Unis voulaient arrêter les bombardements sur Gaza, Washington pourrait facilement dire à Israël de cesser les bombardements. Au lieu de cela, dans un geste de folie criminelle, le Commandement central américain a déployé deux groupes aéronavals pour soutenir le bombardement des familles palestiniennes sans défense.
En réponse à une force américaine aussi importante dans la région, la Russie a déployé des MIG-31K au-dessus de la mer Noire pour protéger les installations navales russes de Tartous. Ces avions d’attaque transportent ceux de Kinzhal et ces armes hypersoniques peuvent facilement couler à la fois le Ford et l’Eisenhower actuellement stationnés en Méditerranée orientale.
La 44e force opérationnelle navale chinoise est arrivée en Méditerranée orientale pour soutenir les intérêts pétroliers russes et chinois. Cela comprend le destroyer Zibo, la frégate Jingzhou et le navire de ravitaillement intégré Qiandaohu.
Dans ce scénario, nous ne pouvons jamais oublier les paroles d’Henry Kissinger : « Être un ennemi des États-Unis est dangereux mais être un ami est fatal ».
Et Israël ferait bien de ne pas oublier ces paroles.
Si un conflit éclate par erreur entre les forces américaines, chinoises et russes. L’État d’Israël sera anéanti et dévasté. Il ne faut jamais oublier qu’Israël a une alliance de défense « à toute épreuve » avec les États-Unis et qu’un conflit éclaterait entre ces deux belligérants. La Russie devra partir du principe que l’arsenal nucléaire israélien sera déployé contre les ressources navales russes en Syrie.
Dans un conflit entre la Russie et les États-Unis, les forces aérospatiales russes devront éliminer immédiatement la menace nucléaire israélienne. Cela est dû à la proximité de Jérusalem avec la base navale russe de Tartous. Et c’est précisément pourquoi des avions d’attaque russes sont actuellement déployés au-dessus de la mer Noire ; ils sont capables de transporter le Kinzhal à pointe nucléaire. Une arme de 50 kilotonnes qui mettra fin à tous les espoirs et à tous les rêves des Israéliens et des Palestiniens.
Il n’y a aucune défense contre ces armes. Cela signifie que Jérusalem et toutes les installations de commandement et de contrôle israéliennes disparaîtront dans un nuage de vapeur à 80 000 pieds dans le ciel – et qu’Israël cessera d’exister. Ne vous y trompez pas, tel est le sort qui attend la Terre Sainte.
Bien entendu, nombreux sont ceux qui ne comprennent pas la logique qui se cache derrière ces tactiques américaines. C’est très simple : les armes nucléaires sont très coûteuses à acquérir et à entretenir. Dans une guerre nucléaire interarmes de haute intensité, toute alliance avec les États-Unis est une condamnation à mort.
Le seul objectif de toute alliance américaine est que la Russie dépense son arsenal nucléaire sur les alliés américains plutôt que sur les villes et les moyens militaires américains. En fait, c’est ainsi que les planificateurs militaires américains envisagent leurs alliances : pour chaque arme nucléaire utilisée contre la Finlande, l’Allemagne ou Israël ; il y a une arme nucléaire de moins qui peut être utilisée à Colorado Springs ou à San Francisco.
En fin de compte, toute alliance OTAN-Amérique est une dose de cyanure pour l’État-nation en question – en particulier pour Israël.
Désintégration américaine et perte de la suprématie militaire
Pour de nombreux Américains, ce prochain sujet sera difficile à comprendre. Les intérêts OTAN-américains s’effondrent – tant sur le plan économique que militaire. À partir de maintenant, tout nouveau cadre de sécurité européen devra être redéfini avec la Russie – la nouvelle puissance régionale européenne.
Nous devons accepter la réalité selon laquelle la Russie détient la suprématie militaire en Europe (et donc) le contrôle de la vie ou de la mort dans le système néo-westphalien.
Quant aux États-Unis, la plupart de leurs grandes villes sombrent dans le chaos et la criminalité. Bien que l’on ait beaucoup écrit sur ce sujet aux États-Unis, il reçoit rarement l’attention des personnes en dehors de l’Amérique continentale.
Washington tente désespérément de redresser le navire hégémonique avant qu’il ne se renverse et ne coule. Pour atteindre cet objectif, Washington a déclaré la guerre au monde et à tous ceux qui s’opposent à l’Empire américain.
Y compris ses propres citoyens.
C’est précisément la raison pour laquelle les Américains sont confrontés à une guerre de l’information extrême ; ainsi que les tentatives désespérées du gouvernement américain pour changer la perception que les Américains ont de la réalité. Même la censure américaine a échoué, et les Américains commencent à considérer Washington avec crainte.
Pour le peuple américain qui est sous la poigne de fer de Washington, la confusion américaine se transforme rapidement en colère, et Washington ne lutte pas seulement contre un manque de confiance dans ses institutions. Washington est en guerre contre les trois quarts de sa population, condamnant son propre pays à la pauvreté et emprisonnant simultanément toute opposition politique à ce qui reste d’une économie en effondrement.
Washington est seul en guerre contre le monde et son propre peuple.
Pour l’armée américaine, la dépravation de la défense de l’ouest de l’Ukraine n’était pas seulement une défaite militaire. C’était une démonstration de l’incompétence militaire de l’OTAN en matière de planification tactique et de pertes de vies humaines inutiles. Les blindés de l’OTAN n’ont pas seulement pris feu dans les steppes de Novorossiya. Cela a également été une vitrine de la division de l’OTAN et d’un cirque d’incompétence incontestable.
Avec les rapports de force actuels de la Russie et le calcul différentiel d’attrition. Ne vous y trompez pas, si la Russie en avait la volonté politique ; ils auraient la force nécessaire pour pousser jusqu’à Paris, écartant toutes les forces adverses à mesure que les fers de lance russes avancent. Et compte tenu de cette réalité, l’Europe se tournera bientôt vers les BRICS-11 pour son développement économique alors que les États-Unis s’effondrent simultanément dans un trou noir de dette dérivée, et avec eux, Israël.
Israël est déjà vaincu
Israël connaît également de sérieuses divisions au sein de sa société. En Israël, de nombreux citoyens juifs ainsi que la diaspora juive condamnent les bombardements contre des civils innocents. Tandis que le gouvernement israélien (dans une démonstration flagrante de résolution) la Knesset a adopté une loi interdisant de manifester sous peine de mort.
Ce n’est pas exactement le signe d’une véritable démocratie saine
Pour les Russes, la patience du Kremlin est à bout. Les bombardements israéliens des aérodromes de Damas et d’Alep ont incité Moscou à autoriser l’Iran et le Hezbollah à utiliser les installations de fret aérien russe à Hmeimim.
Pepe Escobar : « Je suppose que nous verrons si Netanyahu a un désir de mort de contester une base aérienne russe entièrement A2/AD (anti-accès/déni de zone) »
Évidemment, Netanyahu ne l’a jamais fait et ne le fera jamais.
Nous devons toujours nous rappeler que « la guerre est une extension de la politique par d’autres moyens ». Dans ce cas, Israël a perdu la guerre dans le temple et le brutal État israélien d’Apartide a été mis en lumière, à coups de pied et en criant, à la vue de tous. Pour beaucoup, ceux qui n’ont vu Israël qu’à travers le faux prisme des médias grand public ; il est désormais perçu pour ce qu’il est : un État brutal et oppressif qui fait paraître l’Afrique du Sud de l’apartheid apprivoisée en comparaison.
Et simplement d’un point de vue militaire et logistique, Israël ne dispose pas des éléments interarmes nécessaires pour mener un conflit de longue durée. Non seulement les États-Unis vident leurs arsenaux au profit de causes perdues. Les États-Unis manquent de la plupart de leurs munitions essentielles. Et même si Israël pouvait mener une campagne prolongée visant à assassiner des civils innocents, il manquerait de stocks de bombes en quelques mois.
Nous ne pourrons jamais oublier que lors de la guerre du Liban en 2006, Israël a perdu une division blindée, portant un coup dur à la xénophobie juive. Pour que les chars soient efficaces, ils doivent être soutenus par une infanterie bien entraînée et qui ne craint pas les pertes.
Soyons clairs : la population juive israélienne n’a pas peur des pertes.
Comme les forces de l’ordre américaines, ils détestent les pertes et sont incapables de soutenir des combats à long terme. Les actions policières en Cisjordanie et dans la bande de Gaza ne constituent pas des conflits urbains de haute intensité. Ils mènent des actions policières contre une population sans défense. Les conscrits israéliens ne peuvent pas gagner contre un ennemi déterminé et c’est pourquoi Tsahal a été vaincu dans le conflit libanais en 2006.
Une chose est sûre, la soif de sang de Washington ne fait que commencer.
Il y a trois ans, j’avais prédit la défaite de l’Ukraine. Et aujourd’hui, Israël subira le même sort. En fin de compte, nous ne pouvons jamais oublier la vérité fondamentale de la politique étrangère américaine : « Être un ennemi des États-Unis est dangereux mais être un ami est fatal. »
Il serait sage de ne jamais laisser le diable entrer par la porte
—Chris